La Mission French Tech et son réseau des Capitales et Communautés French Tech se mobilisent pour mettre en lumière les femmes qui, partout en France et dans le monde, font la French Tech.
Parce qu’on ne les voit pas encore assez, et qu’on a besoin de plus les voir pour que d’autres les rejoignent, nous donnons la parole à celles qui sont déjà des piliers de la French Tech. Rendez-vous toute les 2 semaines pendant toute l’année 2025 pour la diffusion de ces portraits “Femmes de la French Tech / Women in French Tech sur LinkedIn, Instagram et notre site web. Pour ce portrait nous donnons la parole à Marie-Hélène JUILLARD RANDRIAN, vice présidente de Dijon Métropole.
Quel a été ton déclic « French Tech » ?
Reconnaissance comme élue de Dijon Métropole de l’utilité des jeunes entreprises innovantes pour la création de valeur et la compétitivité du territoire puis engagement pour un accompagnement collectif par l’ensemble des acteurs territoriaux de l’innovation, un collectif qui assure la fluidité et l’efficacité des dispositifs publics.
La chose dont tu es la plus fière ?
La création au nom de Dijon Métropole, avec aujourd’hui une trentaine de partenaires de Bourgogne- Franche-Comté, tous acteurs de l’innovation, de LADY’j Tech « Célébrer les Femmes de la Tech » dont le 26 mars 2025 sera la 3ème édition, axée sur l’ industrie et l’International. Cet événement unique comprend 3 séquences: rencontre chercheurs/ doctorantes/ entreprises puis conférence Lady’s Industrie, enfin tables-rondes avec des témoignages de startuppeuses régionales qui lèvent des fonds à l’étranger, exportent et des européennes de la deeptech.
Ton objectif professionnel le plus fou ?
Faire de Dijon métropole « un territoire start-up friendly ».
Objectif réaliste! Augmenter le flux des start-ups en création et favoriser leur développement sur notre territoire avec une offre établie en collectif comprenant: accompagnement, financement, animation, réseaux, parcours résidentiel….Objectif moins réaliste? Dijon métropole, the place to be pour les investisseurs nationaux et internationaux de la tech!
Si tu pouvais revenir en arrière, est-ce qu’il y a quelque chose que tu ferais différemment ?
On peut toujours faire les choses différemment mais c’est une satisfaction et même une certaine fierté d’avoir lancé à l’échelle métropolitaine un mouvement constructif en faveur des jeunes entreprises innovantes, notamment celles fondées par des femmes. Ceci a été rendu possible par le soutien déterminant du Président de la métropole, l’appui immédiat de plusieurs acteurs comme l’incubateur Deca, la Satt Sayens, la CCIR, Bpi, BSB, le DRARI, le Conseil régional et la French Tech BFC!